« Essayez la dictature et vous verrez ! » : le coup de gueule d’Emmanuel Macron contre certains discours d’opposants politiques
Lors de son retour de son déplacement en Israël, Emmanuel Macron a poussé un coup de gueule contre des personnalités politiques. Il a dénoncé « les discours politiques extraordinairement coupables » qui affirment que la France est devenue une dictature.
C’est dans l’avion le ramenant d’Israël ce jeudi 23 janvier qu’Emmanuel Macron est sorti de ses gonds, rapporte Sud Ouest. « Aujourd’hui s’est installée dans notre société – et de manière séditieuse, par des discours politiques extraordinairement coupables -, l’idée que nous ne serions plus dans une démocratie, qu’une forme de dictature se serait installée » , a affirmé le président dans un entretien que doit diffuser Radio J vendredi, et que l’AFP a pu écouter.
« Mais allez en dictature ! Une dictature, c’est un régime ou une personne ou un clan décident des lois. Une dictature, c’est un régime où on ne change pas les dirigeants, jamais. Si la France c’est cela, essayez la dictature et vous verrez! » , a-t-il ajouté.
« La dictature, elle justifie la haine. Elle justifie la violence pour en sortir. Mais il y a en démocratie un principe fondamental : le respect de l’autre, l’interdiction de la violence, la haine à combattre » , a déclaré Emmanuel Macron.
Pour lui, « tous ceux qui aujourd’hui dans notre démocratie, se taisent sur ce sujet, sont les complices, aujourd’hui et pour demain, de l’affaiblissement de notre démocratie et de notre République » .
Emmanuel Macron : « Dans une démocratie, on a un devoir de respect »
Questionné sur la violence, Emmanuel Macron a jugé que « celles et ceux qui portent cette violence, celles et ceux qui, avec cynisme quelquefois, l’encouragent, celles et ceux qui taisent tout reproche qu’il faut avoir oublient une chose très simple: nous sommes une démocratie » .
Selon le chef d’État, « une démocratie, c’est un système politique où l’on choisit nos dirigeants. C’est un système politique où l’on choisit des représentants qui auront à voter librement les lois qui régissent la société. Cela a beaucoup d’exigence, cela veut dire que la liberté du peuple et sa souveraineté sont reconnues. Mais cela a une contrepartie, c’est que dans une démocratie, on a un devoir de respect à l’égard de ceux qui représentent et votent cette loi, parce que précisément, on a le pouvoir de les révoquer. On a l’interdiction de la haine, parce qu’on a le pouvoir de les changer! » .
« Essayez la dictature et vous verrez ! » : Emmanuel Macron dénonce les discours affirmant que la France n’est plus une démocratie
« Aujourd’hui s’est installée dans notre société, et de manière séditieuse par des discours politiques, l’idée que nous ne serions plus dans une démocratie, qu’il y ait une forme de dictature qui s’est installée », a dénoncé Emmanuel Macron au micro de Radio J, jeudi 23 janvier dans la soirée, dans l’avion le ramenant d’Israël.
« Mais allez en dictature ! Une dictature, c’est un régime où une personne ou un clan décide des lois. Une dictature, c’est un régime où on ne change pas les dirigeants, jamais. » – Emmanuel Macron à franceinfo
« Si la France c’est cela, essayez la dictature et vous verrez ! », a poursuivi le président de la République, questionné sur la montée de la violence politique et sociale en France. « Il y a en démocratie un principe fondamental : le respect de l’autre, l’interdiction de la violence, la haine à combattre », indique le président de la République. « Tous ceux qui aujourd’hui dans notre démocratie se taisent sur ce sujet sont les complices, aujourd’hui et pour demain, de l’affaiblissement de notre démocratie et de notre République », a accusé Emmanuel Macron dans cet entretien diffusé vendredi matin par Radio J.
« Celles et ceux qui portent cette violence, celles et ceux qui avec cynisme quelquefois l’encouragent, ou ceux qui taisent tout reproche qu’il faut avoir, oublient une chose très simple : nous sommes une démocratie. » – Emmanuel Macron à franceinfo
« Une démocratie, poursuit le chef de l’Etat, c’est un système politique où l’on choisit nos dirigeants, c’est un système politique où l’on choisit les représentants qui auront à voter librement les lois qui régissent la société. » Cela suppose, selon le président de la République, « beaucoup d’exigence », puisque cela signifie, selon lui, que la liberté du peuple et sa souveraineté sont reconnues.
Mais cela suppose, toujours selon Emmanuel Macron, une contrepartie : « Dans une démocratie, on a un devoir de respect à l’égard de ceux qui représentent et portent cette voix, parce que précisément on a le pouvoir de les révoquer. On a l’interdiction de la haine parce qu’on a le pouvoir de les changer. »
« Essayez la dictature et vous verrez ! » : Emmanuel Macron dénonce les discours affirmant que la France n’est plus une démocratie
« Aujourd’hui s’est installée dans notre société, et de manière séditieuse par des discours politiques, l’idée que nous ne serions plus dans une démocratie, qu’il y ait une forme de dictature qui s’est installée », a dénoncé Emmanuel Macron au micro de Radio J, jeudi 23 janvier dans la soirée, dans l’avion le ramenant d’Israël.
« Mais allez en dictature ! Une dictature, c’est un régime où une personne ou un clan décide des lois. Une dictature, c’est un régime où on ne change pas les dirigeants, jamais. » – Emmanuel Macron à franceinfo
« Si la France c’est cela, essayez la dictature et vous verrez ! », a poursuivi le président de la République, questionné sur la montée de la violence politique et sociale en France. « Il y a en démocratie un principe fondamental : le respect de l’autre, l’interdiction de la violence, la haine à combattre », indique le président de la République. « Tous ceux qui aujourd’hui dans notre démocratie se taisent sur ce sujet sont les complices, aujourd’hui et pour demain, de l’affaiblissement de notre démocratie et de notre République », a accusé Emmanuel Macron dans cet entretien diffusé vendredi matin par Radio J.
« Celles et ceux qui portent cette violence, celles et ceux qui avec cynisme quelquefois l’encouragent, ou ceux qui taisent tout reproche qu’il faut avoir, oublient une chose très simple : nous sommes une démocratie. » – Emmanuel Macron à franceinfo
« Une démocratie, poursuit le chef de l’Etat, c’est un système politique où l’on choisit nos dirigeants, c’est un système politique où l’on choisit les représentants qui auront à voter librement les lois qui régissent la société. » Cela suppose, selon le président de la République, « beaucoup d’exigence », puisque cela signifie, selon lui, que la liberté du peuple et sa souveraineté sont reconnues.
Mais cela suppose, toujours selon Emmanuel Macron, une contrepartie : « Dans une démocratie, on a un devoir de respect à l’égard de ceux qui représentent et portent cette voix, parce que précisément on a le pouvoir de les révoquer. On a l’interdiction de la haine parce qu’on a le pouvoir de les changer. »
Macron dénonce des discours « extraordinairement coupables » justifiant la violence en France
Emmanuel Macron a dénoncé avec véhémence, dans l’avion le ramenant d’Israël jeudi soir, « les discours politiques extraordinairement coupables » affirmant que la France est devenue une dictature, et justifiant de ce fait la violence politique et sociale. « Aujourd’hui s’est installée dans notre société – et de manière séditieuse, par des discours politiques extraordinairement coupables-, l’idée que nous ne serions plus dans une démocratie, qu’une forme de dictature se serait installée », accuse le président dans un entretien que doit diffuser Radio J vendredi matin, et que l’AFP a pu écouter.
« Mais allez en dictature! »
Et de lancer : « Mais allez en dictature ! Une dictature, c’est un régime ou une personne ou un clan décident des lois. Une dictature, c’est un régime où on ne change pas les dirigeants, jamais. Si la France c’est cela, essayez la dictature et vous verrez! La dictature, elle justifie la haine. La dictature, elle justifie la violence pour en sortir. Mais il y a en démocratie un principe fondamental: le respect de l’autre, l’interdiction de la violence, la haine à combattre ». Selon Emmanuel Macron, « tous ceux qui aujourd’hui dans notre démocratie, se taisent sur ce sujet, sont les complices, aujourd’hui et pour demain, de l’affaiblissement de notre démocratie et de notre République. »
Macron pointe le « cynisme »
Questionné sur la violence, le chef de l’Etat a jugé que « celles et ceux qui portent cette violence, celles et ceux qui, avec cynisme quelquefois, l’encouragent, celles et ceux qui taisent tout reproche qu’il faut avoir oublient une chose très simple: nous sommes une démocratie ».
« Une démocratie », explique-t-il, « c’est un système politique où l’on choisit nos dirigeants. C’est un système politique où l’on choisit des représentants qui auront à voter librement les lois qui régissent la société. Cela a beaucoup d’exigence, cela veut dire que la liberté du peuple et sa souveraineté sont reconnues. Mais cela a une contrepartie, c’est que dans une démocratie, on a un devoir de respect à l’égard de ceux qui représentent et votent cette loi, parce que précisément, on a le pouvoir de les révoquer. On a l’interdiction de la haine, parce qu’on a le pouvoir de les changer! »
Macron fustige les discours « séditieux », Mélenchon lui répond
PARIS (Reuters) – Emmanuel Macron a dénoncé les discours politiques « séditieux » et « coupables » en France qui légitiment selon lui la violence en assimilant le régime à « une dictature ».
Un message adressé implicitement à La France insoumise, notamment, dont l’ex-porte-parole Raquel Garrido a pu établir, sur Twitter, des parallèles entre le climat social en France et la situation au Venezuela ou relayer récemment un tweet appelant à la décapitation d’Emmanuel Macron.
« Celles et ceux qui portent cette violence, celles et ceux qui avec cynisme quelquefois l’encouragent, ou ceux qui taisent tout reproche qu’il faut avoir, oublient une chose très simple: nous sommes une démocratie », a déclaré jeudi soir le chef de l’Etat à trois médias – Le Monde, Radio J, Le Figaro – dans l’avion qui le ramenait d’Israël.
« Aujourd’hui s’est installé dans notre société, et de manière séditieuse par des discours politiques extraordinairement coupables, l’idée que nous ne serions plus dans une démocratie, qu’il y a une forme de dictature qui s’est installée », a-t-il poursuivi.
Avant de lancer : « Mais allez en dictature! Une dictature c’est un régime où une personne ou un clan décide des lois, une dictature c’est un régime où on ne change pas les dirigeants, jamais. Si la France, c’est cela, essayez la dictature et vous verrez. La dictature, elle justifie la haine, la dictature, elle justifie la violence pour en sortir. »
Jean-Luc Mélenchon, chef de la file de La France insoumise, a répliqué qu’Emmanuel Macron nourrissait, par ses propos et son indifférence présumée à l’égard des Français, un climat de violence.
« Il contribue lui-même à tendre inutilement les relations politiques et sociales dans le pays. Le seul responsable de toute la violence, c’est lui », a-t-il dit à des journalistes.
« Il l’a créée par un projet de réforme qui est sans objet, parce qu’il est resté indifférent à l’impact économique sur le pays, à la souffrance des gens, qu’il l’a prolongée de manière extrêmement arrogante », a-t-il ajouté à propos de la réforme du système des retraites.
« Je lui demande de réfléchir et de bien considérer où il se trouve. C’est la France, c’est un pays de tradition polémique et querelleuse, nous sommes comme ça. Alors s’il veut gouverner un autre pays, il n’a qu’à y aller et faire candidat là-bas! », a lâché Jean-Luc Mélenchon.
Pour l’ancienne ministre socialiste Ségolène Royal, limogée ce vendredi de ses fonctions d’ambassadrice des Pôles, Emmanuel Macron a imposé « un régime autoritaire ».
« Un pouvoir qui n’écoute pas, qui n’en fait qu’à sa tête, qui assiste à la souffrance des citoyens sans réagir », a-t-elle dit sur BFM TV, en marge d’un déplacement à Marseille.
« Je crois que ses mots sont excessifs, il faut vraiment qu’il reprenne son sang-froid, parce que dans une démocratie on peut réformer sans brutaliser », a-t-elle estimé à propos des déclarations du président.
« Comportement monarchique », « régime autoritaire », Royal et Mélenchon répliquent à Macron
Paris Match | avec AFP
Jean-Luc Mélenchon et Ségolène Royal ont réagi à l’interview d’Emmanuel Macron fustigeant les discours politiques qui tentent, selon lui, de justifier la violence.
Emmanuel Macron « est le seul responsable de toute la violence », a affirmé Jean-Luc Mélenchon vendredi, tandis que Ségolène Royal qualifiait le pouvoir de « régime autoritaire », au lendemain d’une interview du président fustigeant les discours politiques qui tentent, selon lui, de justifier la violence. « La violence est du côté du pouvoir et pas du côté des manifestants ou des grévistes. Et maintenant il y ajoute une violence politique (…) c’est vraiment un comportement monarchique », a estimé sur BFMTV Jean-Luc Mélenchon, dirigeant de La France insoumise.
Le chef de l’Etat « contribue lui-même à tendre les relations politiques et sociales dans le pays. Le seul responsable de toute la violence, c’est lui, parce qu’il la crée par un projet de réforme qui est sans objet, ensuite parce qu’il est resté indifférent à l’impact économique sur le pays, ensuite parce qu’il a été indifférent à la souffrance des gens », a-t-il poursuivi.
Lire aussi :« Essayez la dictature et vous verrez! » : le coup de gueule de Macron
Jean-Luc Mélenchon a encore accusé Emmanuel Macron de « lorgner vers les électeurs de l’extrême droite ».
Emmanuel Macron avait dénoncé jeudi soir « les discours politiques extraordinairement coupables » martelant que la France est devenue une « dictature » et justifiant de ce fait, selon lui, la violence politique et sociale. La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye, interrogée sur ces déclarations, a assuré qu’il n’était pas question pour Emmanuel Macron de « jeter l’anathème sur untel ou untel ». Mais elle a aussi estimé pour sa part que, « notamment à La France insoumise, des gens accréditent au fond l’idée qu’il y aurait un ‘régime’ qui imposerait sa loi au reste de la population. »
« On est dans un régime autoritaire », assure Royal
« On est dans un régime autoritaire », a précisément assuré Ségolène Royal, également sur BFMTV. L’ancienne ministre socialiste, révoquée de ses fonctions d’ambassadrice des pôles et qui n’exclut pas de se présenter en 2022, a décrit « un pouvoir qui n’écoute pas, qui n’en fait qu’à sa tête, qui assiste à la souffrance des citoyens sans réagir.
« Quand on voit dans le monde entier les images de violence de ce qui se passe en France, dans la rue, il y a beaucoup d’interrogations sur la nature de ce régime en effet », a-t-elle relevé.
POLITIQUE – Emmanuel Macron “est le seul responsable de toute la violence”, a affirmé Jean-Luc Mélenchon ce vendredi 24 janvier, tandis que Ségolène Royal qualifiait le pouvoir de “régime autoritaire”, quelques heures après la diffusion d’une interview du président de la République fustigeant les discours politiques qui tentent, selon lui, de justifier la violence.
Dans l’avion-retour d’Israël, Emmanuel Macron a accordé un entretien au Monde, au Figaro et à Radio J. À cette occasion, il a dénoncé “les discours politiques extraordinairement coupables” martelant que la France est devenue une “dictature” et justifiant de ce fait, selon lui, la violence politique et sociale. Et le Président de les exhorter à “essayer la dictature”.
La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye, interrogée sur ces déclarations, a assuré qu’il n’était pas question pour le chef de l’État de “jeter l’anathème sur untel ou untel”. Mais elle a aussi estimé pour sa part que, “notamment à La France insoumise, des gens accréditent au fond l’idée qu’il y aurait un ‘régime’ qui imposerait sa loi au reste de la population.”
“La violence est du côté du pouvoir et pas du côté des manifestants ou des grévistes. Et maintenant il y ajoute une violence politique (…) c’est vraiment un comportement monarchique”, a estimé sur BFMTV Jean-Luc Mélenchon, dirigeant de La France insoumise, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article.
“Qu’il teste la démocratie”
Le président de la République “contribue lui-même à tendre les relations politiques et sociales dans le pays. Le seul responsable de toute la violence, c’est lui, parce qu’il la crée par un projet de réforme qui est sans objet, ensuite parce qu’il est resté indifférent à l’impact économique sur le pays, ensuite parce qu’il a été indifférent à la souffrance des gens”, a-t-il poursuivi.
“On est dans un régime autoritaire”, a précisément assuré Ségolène Royal, également sur BFMTV. L’ancienne ministre socialiste, révoquée de ses fonctions…
« Total prévoit de construire le site de sa Direction Recherche et Innovation au sein de Polytechnique ! C’est du jamais vu : un projet 10 000 m² en plein coeur de l’école où s’installeraient 250 salariés de Total. Dès qu’ils ont pris connaissance de ce projet, une majorité d’étudiantes et étudiants a exprimé son opposition lors d’un vote organisé par le bureau des élèves.
Dans 20 ans, des enfants chercheront leurs pères… Ils trouveront des pipettes….
une société d’orphelins « en marche »
» C’est une vieille idée qui n’existe plus mon enfant grâce au progressisme et aux associations LGBT »
la pma ce n’est pas la GPA
ceux qui sont contre la PMA sont aussi les assidus du PMU