Equateur : le volcan Cotopaxi se réveille, des localités évacuées
Le Monde.fr avec AFP |

Plusieurs localités situées à proximité du volcan équatorien Cotopaxi, qui vient de se réveiller, sont en cours d’évacuation samedi 15 août « à titre préventif », ont annoncé les autorités. Le gouvernement n’a pas précisé le nombre de personnes concernées par cette évacuation.
Le président Rafael Correa a par ailleurs annoncé qu’il allait décréter un « état d’exception » pour faire face à une éventuelle situation d’urgence. Cet état d’exception permet « d’utiliser toutes les ressources, mis à part celles de l’éducation, pour répondre à une éventuelle urgence et mobiliser les ressources nécessaires », a précisé le président socialiste lors de son intervention hebdomadaire à la radio et à la télévision. Sous ce régime d’exception, le gouvernement peut également déployer des effectifs militaires pour venir en aide aux équipes de secours.
Un des plus dangereux au monde
Perché à 5 897 mètres d’altitude, le volcan Cotopaxi a été secoué vendredi par de nombreuses explosions, dégageant une importante colonne de cendres de 8 kilomètres de hauteur. Il a expulsé samedi des fragments solides et incandescents qui, selon les autorités, peuvent provoquer des avalanches.
La retombée des cendres oblige de nombreux habitants à se protéger, jusqu’à Quito, la capitale du pays située à 45 km du volcan, où un million de masques ont été distribués. Le ministère de l’environnement a aussi fermé l’accès touristique au Cotopaxi et fait évacuer un groupe de 15 alpinistes qui voulaient escalader le volcan.
Par ailleurs, les opérations ont été suspendues à l’aéroport de Latacunga, situé au pied du volcan, selon la Direction générale de l’aviation civile.

L’Institut de géophysique (IG) a toutefois tenu à souligner que le Cotopaxi n’avait pas provoqué de lahar (des coulées boueuses) mais que des coulées d’eau avec de la boue avaient été enregistrées. Les autorités ont maintenu le niveau d’alerte jaune, grade intermédiaire dans le classement d’urgence.
Le volcan, qui n’a pas connu de véritable éruption depuis 1877 mais restait modérément actif, est considéré par les scientifiques de l’IG comme l’un des plus dangereux au monde, en raison de la grande quantité de neige sur son sommet et de l’importante population habitant à proximité.
Lire aussi : L’Equateur, sous la menace des volcans
PHOTOS. Cotopaxi: l’un des plus dangereux volcans du monde se réveille, l’état d’exception déclaré en Equateur
INTERNATIONAL – Le Cotopaxi s’est réveillé. L’Equateur a décrété samedi 15 août l’état d’exception face au réveil de volcan culminant à 5897 mètres d’altitude, proche de Quito et considéré comme l’un des plus dangereux du monde. Situé à 45 km au sud de la capitale, dans le centre du pays, le volcan a été secoué vendredi 14 août par de nombreuses explosions, dégageant une importante colonne de cendres jusqu’à 8 km de hauteur.
Samedi, le volcan a expulsé une colonne de cendres allant jusqu’à 5 km au-dessus du cratère. Il a aussi expulsé des fragments solides et incandescents qui, selon les autorités, peuvent provoquer des avalanches. Face au risque d’éruption, 400 habitants de localités menacées ont été évacuées « de façon préventive » des abords du volcan, dans les provinces de Cotopaxi et Pichincha, a déclaré le président équatorien Rafael Correa lors de son intervention hebdomadaire à la radio et à la télé équatoriennes.
Le président équatorien a annoncé avoir décrété un « état d’exception », qui permet « d’utiliser toutes les ressources où qu’elles soient, mis à part celles de l’éducation, pour répondre à une éventuelle urgence et mobiliser les ressources nécessaires », a-t-il précisé. Sous ce régime, le gouvernement peut également déployer des effectifs militaires pour venir en aide aux équipes de secours, mais aussi contrôler les informations diffusées sur l’activité du Cotopaxi.
Cette « censure préventive » cherche à « éviter les rumeurs lancées par quelque déséquilibré sur Twitter », créant la panique, explique le texte du décret. Les seules informations autorisées sur l’activité du volcan proviendront désormais du ministre de la Sécurité nationale, Cesar Navas. L’Institut de géophysique (IG) a tenu à souligner que le volcan n’avait pas provoqué de lahar (coulées boueuses d’origine volcanique, ndlr) mais que des coulées d’eau avec de la boue avaient été enregistrées.
Le volcan – un des huit actifs en Equateur – n’a pas connu de véritable éruption depuis 1877. Modérément actif depuis cette date, il est considéré par les scientifiques de l’IG comme l’un des plus dangereux au monde en raison de la grande quantité de neige présente à son sommet, et des populations vivant à proximité.
Celles-ci sont en effet exposées à ces puissantes coulées de boue qui peuvent tout détruire sur leur passage : très denses et très lourdes, celles-ci se forment par la fonte de la glace et de la neige due à la chaleur de l’éruption.
Habitants sous tension
Par ailleurs, les opérations ont été suspendues à l’aéroport de Latacunga, situé au pied du volcan et qui sert principalement au fret, a indiqué la Direction générale de l’aviation civile. Dans la soirée, de nombreux habitants de la commune de Lasso qui, alarmés par la radio et les policiers, s’étaient réfugiés dans une école, sont rentrés eux, a constaté un journaliste de l’AFP.
« Nous rassemblons quelques affaires pour partir dès qu’ils nous le disent. Mais nous ne nous sentons pas prêts » à faire face à une urgence majeure, a témoigné Fernanda Mejia. Non loin de là, les 170.000 habitants de Latacunga, capitale de la province de Cotopaxi, se préparaient également au pire en se procurant bouteilles d’eau et aliments de base pour quitter la ville ou au contraire se réfugier chez eux.
La veille, un groupe de 15 alpinistes qui souhaitaient escalader le volcan en avaient été empêchés après la fermeture de l’accès au site par le ministère de l’Environnement.
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EN IMAGES. Le volcan Cotopaxi s’est réveillé, l’Equateur se prépare au pire
L’un des volcans les plus dangereux du monde a repris de l’activité en Equateur. Devant l’ampleur du péril, le président Rafael Correa, a déclaré qu’il allait placer le pays en «état d’exception».

Il est considéré comme l’un des volcan les plus dangereux du monde. Bien qu’il n’ait pas connu de véritable éruption depuis 1877, le volcan Cotopaxi reste actif. Vendredi, le géant perché à presque 6 000 mètres d’altitude est sorti de sa torpeur. Secoué de nombreuses explosions, il crache depuis une importante colonne de cendres de 8 kilomètres de hauteur.
Samedi, des fragments solides et incandescents ont été observés, les autorités craignent qu’ils provoquent des avalanches.
«Mobiliser toutes les ressources»
Plusieurs localités situées à proximité ont été évacuées à titre préventif, samedi matin. Dans la foulée, le président équatorien, Rafael Correa a annoncé qu’il allait décréter «l’état d’exception» pour faire face à une éventuelle situation d’urgence. Ce statut particulier permet de mobiliser «toutes les ressources, mis a part celles de l’éducation» pour faire face à la menace. Les effectifs militaires pourront être déployés pour renforcer les équipes de secours.
«En raison de l’expulsion de pyroclastes qui peuvent entraîner des lahars (coulées boueuses d’origine volcanique) nous avons évacué préventivement la zone sud» du volcan, a déclaré Pablo Morillo, responsable du secrétariat national de la gestion des risques. L’Institut de géophysique (IG) a tenu à souligner que le volcan n’avait pas provoqué de lahars mais que des coulées d’eau avec de la boue avaient été enregistrées.
« En las próximas horas firmaré decreto que declara estado de excepción ante incremento de actividad #VolcánCotopaxi » @MashiRafael #Enlace437— Riesgos Ecuador (@Riesgos_Ec) 15 Août 2015
(Dans les prochaines heures, je signerai le décret pour instaurer l’état d’exception à cause de l’accroissement de l’activité du volcan.)
Dans le journal «La Hora», le gouverneur de Cotopaxi, Fernando Suarez, a appelé les habitants au calme. L’alerte jaune est maintenue mais aucun accident n’a été recensé pour le moment.
Equateur : le volcan Cotopaxi se réveille, l’état d’exception est déclaré

Quito (AFP) – L’Equateur a décrété samedi l’état d’exception face au réveil du volcan Cotopaxi, proche de Quito et considéré comme l’un des plus dangereux du monde, faisant évacuer plusieurs localités menacées par une éventuelle éruption.
Situé à 45 km au sud de la capitale Quito, dans le centre du pays, le volcan perché à 5.897 mètres d’altitude a été secoué vendredi par de nombreuses explosions, dégageant une importante colonne de cendres jusqu’à 8 km de hauteur.
Samedi encore, le volcan a expulsé une colonne de cendres allant jusqu’à 5 km au-dessus du cratère.
Il a aussi expulsé des fragments solides et incandescents qui, selon les autorités, peuvent provoquer des avalanches.
« Quatre cents personnes ont été évacuées de façon préventive » des abords du volcan, dans les provinces de Cotopaxi et Pichincha, a déclaré le président équatorien Rafael Correa lors de son intervention hebdomadaire à la radio et à la télé équatoriennes.
Le président équatorien a annoncé avoir décrété un « état d’exception », qui permet « d’utiliser toutes les ressources où qu’elles soient, mis à part celles de l’éducation, pour répondre à une éventuelle urgence et mobiliser les ressources nécessaires », a-t-il précisé.
Sous ce régime, le gouvernement peut également déployer des effectifs militaires pour venir en aide aux équipes de secours, mais aussi contrôler les informations diffusées sur l’activité du Cotopaxi.
Cette « censure préventive » cherche à « éviter les rumeurs lancées par quelque déséquilibré sur Twitter« , créant la panique, explique le texte du décret. Les seules informations autorisées sur l’activité du volcan proviendront désormais du ministre de la Sécurité nationale, Cesar Navas.
L’Institut de géophysique (IG) a tenu à souligner que le volcan n’avait pas provoqué de lahar (coulées boueuses d’origine volcanique, ndlr) mais que des coulées d’eau avec de la boue avaient été enregistrées.
Le volcan – un des huit actifs en Equateur – n’a pas connu de véritable éruption depuis 1877. Modérément actif depuis cette date, il est considéré par les scientifiques de l’IG comme l’un des plus dangereux au monde en raison de la grande quantité de neige présente à son sommet, et des populations vivant à proximité.
Celles-ci sont en effet exposées à ces puissantes coulées de boue qui peuvent tout détruire sur leur passage : très denses et très lourdes, celles-ci se forment par la fonte de la glace et de la neige due à la chaleur de l’éruption.
– Habitants sous tension –
Par ailleurs, les opérations ont été suspendues à l’aéroport de Latacunga, situé au pied du volcan et qui sert principalement au fret, a indiqué la Direction générale de l’aviation civile.
Dans la soirée, de nombreux habitants de la commune de Lasso qui, alarmés par la radio et les policiers, s’étaient réfugiés dans une école, sont rentrés eux, a constaté un journaliste de l’AFP.
« Nous rassemblons quelques affaires pour partir dès qu’ils nous le disent. Mais nous ne nous sentons pas prêts » à faire face à une urgence majeure, a témoigné Fernanda Mejia.
Non loin de là, les 170.000 habitants de Latacunga, capitale de la province de Cotopaxi, se préparaient également au pire en se procurant bouteilles d’eau et aliments de base pour quitter la ville ou au contraire se réfugier chez eux.
La veille, un groupe de 15 alpinistes qui souhaitaient escalader le volcan en avaient été empêchés après la fermeture de l’accès au site par le ministère de l’Environnement.
L’Équateur se prépare au pire après le réveil du volcan Cotopaxi
Les autorités équatoriennes sont en alerte après l’annonce du réveil du volcan. Elles ont fait évacuer les villages alentour et déclaré l’état d’exception.
Source AFP | Le Point.fr

Le réveil du volcan Cotopaxi, très proche de Quito et considéré comme l’un des plus dangereux au monde, a mis en alerte samedi les autorités équatoriennes, qui ont fait évacuer plusieurs localités et s’apprêtaient à déclarer l’état d’exception.
Le volcan perché à 5 897 mètres d’altitude a été secoué la veille par de nombreuses explosions, dégageant une importante colonne de cendres jusqu’à 8 kilomètres de hauteur. Il a expulsé samedi des fragments solides et incandescents qui, selon les autorités, peuvent provoquer des avalanches.
Des coulées de boue
« En raison de l’expulsion de ces pyroclastes qui peuvent entraîner des lahars (coulées boueuses d’origine volcanique, NDLR), nous avons évacué préventivement la zone sud » du volcan, a déclaré le responsable du secrétariat national de la gestion des risques, Pablo Morillo, sur son compte Twitter.
Le gouvernement n’a pas précisé le nombre de personnes concernées par cette évacuation aux abords du volcan Cotopaxi, situé à 45 km au sud de Quito, dans le centre du pays. L’Institut de géophysique (IG) a tenu à souligner que le volcan n’avait pas provoqué de lahar mais que des coulées d’eau avec de la boue avaient été enregistrées.
Le pays en état d’exception
Le volcan – un des huit actifs en Équateur – n’a pas connu de véritable éruption depuis 1877. Modérément actif depuis cette date, il est considéré par les scientifiques de l’IG comme l’un des plus dangereux au monde en raison de la grande quantité de neige présente à son sommet, et des populations vivant à proximité, menacées par les puissantes coulées de boue.
Par anticipation, le président équatorien Rafael Correa a annoncé qu’il allait décréter un état d’exception pour faire face à une éventuelle situation d’urgence. « Nous allons déclarer l’état d’exception pour l’activité du volcan Cotopaxi », a déclaré le président socialiste lors de son intervention hebdomadaire à la radio et à la télé équatoriennes.
Déploiement de militaires
Cet état d’exception permet d' »utiliser toutes les ressources où qu’elles soient, mis à part celles de l’éducation, pour répondre à une éventuelle urgence » et de « mobiliser les ressources nécessaires », a-t-il précisé. Sous ce régime, le gouvernement peut également déployer des effectifs militaires pour venir en aide aux équipes de secours.
Par ailleurs, les opérations ont été suspendues à l’aéroport de Latacunga, situé au pied du volcan, selon la Direction générale de l’aviation civile. À Latacunga, capitale de la province de Cotopaxi, les 170 000 habitants se préparaient au pire en se procurant bouteilles d’eau et aliments de base pour quitter la ville ou, au contraire, se réfugier chez eux.
La police en alerte
Même si aucune éruption n’avait eu lieu samedi, les sirènes de police que l’on entendait dans la ville, où le niveau de sécurité est à son maximum, mettaient les habitants sous tension. « Je conduisais près de la rivière Cutuchi quand la police est sortie sirènes hurlantes pour alerter les habitants de maison en maison, a témoigné une femme.
La veille, un groupe de 15 alpinistes qui souhaitaient escalader le volcan en avait été empêché après la fermeture de l’accès au site par le ministère de l’Environnement. Par ailleurs, de nombreuses personnes présentes dans la zone ont été évacuées et transférées dans des centres de secours.
L’Equateur a décrété samedi l’état d’exception face au réveil du volcan Cotopaxi, proche de Quito et considéré comme l’un des plus dangereux du monde, faisant évacuer plusieurs localités menacées par une éventuelle éruption.
Situé à 45 km au sud de la capitale Quito, dans le centre du pays, le volcan perché à 5.897 mètres d’altitude a été secoué vendredi par de nombreuses explosions, dégageant une importante colonne de cendres jusqu’à 8 km de hauteur.
Samedi encore, le volcan a expulsé une colonne de cendres allant jusqu’à 5 km au-dessus du cratère.
Il a aussi expulsé des fragments solides et incandescents qui, selon les autorités, peuvent provoquer des avalanches.
« Quatre cents personnes ont été évacuées de façon préventive » des abords du volcan, dans les provinces de Cotopaxi et Pichincha, a déclaré le président équatorien Rafael Correa lors de son intervention hebdomadaire à la radio et à la télé équatoriennes.
Le président équatorien a annoncé avoir décrété un « état d’exception », qui permet « d’utiliser toutes les ressources où qu’elles soient, mis à part celles de l’éducation, pour répondre à une éventuelle urgence et mobiliser les ressources nécessaires », a-t-il précisé.
Sous ce régime, le gouvernement peut également déployer des effectifs militaires pour venir en aide aux équipes de secours, mais aussi contrôler les informations diffusées sur l’activité du Cotopaxi.
Cette « censure préventive » cherche à « éviter les rumeurs lancées par quelque déséquilibré sur Twitter« , créant la panique, explique le texte du décret. Les seules informations autorisées sur l’activité du volcan proviendront désormais du ministre de la Sécurité nationale, Cesar Navas.
L’Institut de géophysique (IG) a tenu à souligner que le volcan n’avait pas provoqué de lahar (coulées boueuses d’origine volcanique, ndlr) mais que des coulées d’eau avec de la boue avaient été enregistrées.
Le volcan – un des huit actifs en Equateur – n’a pas connu de véritable éruption depuis 1877. Modérément actif depuis cette date, il est considéré par les scientifiques de l’IG comme l’un des plus dangereux au monde en raison de la grande quantité de neige présente à son sommet, et des populations vivant à proximité.
Celles-ci sont en effet exposées à ces puissantes coulées de boue qui peuvent tout détruire sur leur passage : très denses et très lourdes, celles-ci se forment par la fonte de la glace et de la neige due à la chaleur de l’éruption.
– Habitants sous tension –
Par ailleurs, les opérations ont été suspendues à l’aéroport de Latacunga, situé au pied du volcan et qui sert principalement au fret, a indiqué la Direction générale de l’aviation civile.
Dans la soirée, de nombreux habitants de la commune de Lasso qui, alarmés par la radio et les policiers, s’étaient réfugiés dans une école, sont rentrés eux, a constaté un journaliste de l’AFP.
« Nous rassemblons quelques affaires pour partir dès qu’ils nous le disent. Mais nous ne nous sentons pas prêts » à faire face à une urgence majeure, a témoigné Fernanda Mejia.
Non loin de là, les 170.000 habitants de Latacunga, capitale de la province de Cotopaxi, se préparaient également au pire en se procurant bouteilles d’eau et aliments de base pour quitter la ville ou au contraire se réfugier chez eux.
La veille, un groupe de 15 alpinistes qui souhaitaient escalader le volcan en avaient été empêchés après la fermeture de l’accès au site par le ministère de l’Environnement.
Equateur : Cotopaxi, l’un des volcans le plus dangereux du monde, se réveille
Située non loin de la capitale Quito, le volcan qui crache des colonnes de fumée a forcé une partie des 2,3 millions d’habitants de la ville à porter des masques.

Le volcan Cotopaxi en Equateur a expulsé, vendredi 14 août, une colonne de cendres de 8 kilomètres au-dessus de son cratère, obligeant les autorités du pays à élever le niveau d’alerte dans les zones alentours. Le volcan, situé à 45 kilomètres de la capitale Quito, est considéré comme l’un des plus dangereux au monde.
#cenizacotopaxi pic.twitter.com/kR7nd6qYJ3 — Daniel Salazar (@danielsalazar_c) 14 Août 2015
Le trafic aérien n’a pas été suspendu
Perché à 5 897 mètres d’altitude, le volcan Cotopaxi a été secoué par de nombreuses explosions depuis l’aube. Le trafic aérien n’a pas été suspendu et les autorités équatoriennes étudient encore les possibilités d’évacuer. La retombée de cendres a forcé une partie des 2,3 millions d’habitants de Quito à porter des masques.
Le volcan Cotopaxi s’est réveillé, l’Équateur déclare l’état d’exception
> > > > > > > Ce vieux proverbe Cree devient une réalité de plus en plus brutale. Même aujourd’hui, beaucoup de personnes ne sont pas conscientes ou n’acceptent pas les conséquences de notre style de vie. Partagez donc ces images évocatrices.
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commentaires
TopLa • Il suffirait d’une énorme explosion, et le monde retomberait dans l’âge glaciaire du jour au lendemain.
Tagus Une journaliste et professeure française, Manuela Picq, vient d’être expulsé de l »Equateur, pour s’être trouvée dans une manif anti-gouvernement . Cela ne semple pas intéresser la presse française. Curieux état de siège à l’avance…
Cha quelques erreurs terminologiques : les lahars ne sont pas des coulées volcaniques mais justement une coulée boueuse, formée d’un mélange d’eau, de cendre et de téphra. Je suppose que ce qui est entendu ici par « coulées volcaniques » est plutôt les coulées de lave. Les lahars sont généralement bien plus dangereux que les coulées de lave puisque plus rapide et moins prévisible, et parce qu’ils peuvent se former des mois après l’éruption suite à des précipitations.
Raslebol Vous ne trouvez pas que la terre entière en a marre de NOUS? La nature en général d’ailleurs. Comme je la comprends. Nous avons depuis longtemps oublié que si nous avons besoin de la nature, elle n’a pas besoin de nous.
Unvacancierheureux si les plaques bougent, c’est bon signe. la Terre est encore vivante!!! Ouffff…
Matoo The big one ????? California dream is over …..
Oupouaout24oulipien36virgule100
Japon, Guatemala, Équateur, la plaque tectonique du Pacifique bouge.
Yorick C’est la fin du mooooooonde !!